Où s’éveille la vie
Les gemmes en silence
Myriades se tiennent
Eployant la pierre noire
Où se mire le Monde.
La nuit comme une épée
Cordeau taille l’espoir
Vide encore
D’éternités de fulgurance
Échancre l’espace
Et tombe
Sifflante
Sur le tissu ténu
De la moire crépusculaire.
D’un pôle à l’autre la déchirure
Du corps et de l’esprit!
Qui donc se gardera du trait
Qui navre et qui
Guérit ?
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